Les agents d’intimidation masculins (premier pacte) et féminins (deuxième pacte) peuvent commencer si le Conseil d’État peut améliorer ses mesures sanitaires avant le 31 mai. Sinon, ils peuvent être supprimés.
Le comité central de l’Association suisse de football (ASF) s’est réuni vendredi pour décider de l’avenir imminent du sport amateur, qui a été perturbé à partir d’octobre 2020 après l’arrivée du deuxième coronavirus. La réunion fait suite à l’annonce de mercredi d’un plan de secours en trois phases pour la Cour fédérale.
Saison arrêtée si aucun assouplissement avant le 31 mai
La reprise de la compétition n’est possible que si les équipes peuvent s’entraîner normalement, soit par noms et personnes sans masque, et la saison durera jusqu’au 4 juillet. Le but est de jouer au moins la moitié des cuisses – si nécessaire de manière courte ou flexible – pour que la saison puisse se dérouler.
Si le jour férié n’avait pas été annoncé le 31 mai, la date limite serait suspendue. À ce moment-là, il n’y aurait pas de joueur, des hauts et des bas. En matière de licenciement, les organisations locales concernées ont toujours le pouvoir de décider de recommencer ou non. En cas de suspension, les participants amateurs de la Coupe de Suisse 2021/22 seront déterminés par vote.
Les jeunes, les pros et les semi-pros pas concernés
Les mesures mises en place depuis plusieurs semaines permettent aux équipes professionnelles et seniors masculines (Super League, Challenge League et Promotion League) et féminines (Super League, LNB et 1 League) de continuer la compétition de la manière habituelle. Quant aux étapes minoritaires (qui ont eu lieu en 2001 et au-delà), elles ne sont affectées par aucune restriction.