Khaby Lame : Le Phénomène de TikTok sous les projecteurs de Las Vegas
Khabane Lame, alias Khaby Lame, est devenu le tiktokeur le plus suivi au monde avec plus de 160 millions d’abonnés. Originaire du Sénégal et ayant grandi en Italie, il s’est fait connaître grâce à ses vidéos muettes et à son humour subtil. Depuis son décollage viral en 2020, après avoir été licencié d’une usine, sa renommée lui a permis de signer des partenariats lucratifs, lui rapportant près de 16,5 millions de dollars en moins d’un an.
Cependant, son ascension a été récemment interrompue lorsque, le 6 juin, il a été brièvement retenu par les services d’immigration américains à l’aéroport de Las Vegas pour avoir dépassé la durée légale de son visa. Bien que cet incident ait initialement été perçu comme une arrestation, les autorités ont clarifié qu’il s’agissait d’une rétention administrative liée à un dépassement de séjour. Après quelques heures, lui a été accordé un départ volontaire et il a quitté le territoire américain.
Khaby Lame : le phénomène de TikTok obligé de quitter les États-Unis suite à un contrôle à Las Vegas
Récemment, Khaby Lame, le tiktokeur le plus suivi au monde, a été au cœur d’un incident marquant aux États-Unis. Retenu par les services d’immigration américains à l’aéroport de Las Vegas, il a dû quitter le pays suite à un dépassement de la durée légale de son visa. Ce fait divers soulève des questions sur les enjeux liés à l’immigration et met en lumière la célébrité fulgurante de ce jeune homme d’origine sénégalaise, devenu une icône globale grâce à ses vidéos humoristiques.
Un parcours hors du commun
Né au Sénégal mais élevé en Italie dès l’âge d’un an, Khaby Lame a su conquérir le cœur du public avec son style unique. Avec plus de 160 millions d’abonnés, il est devenu le tiktokeur le plus suivi de la planète. Son concept repose sur des mimiques silencieuses et une ironie universelle, faisant de lui un véritable phénomène transcendant les barrières culturelles. C’est après avoir perdu son emploi dans une usine à Chivasso en 2020 qu’il a eu l’idée de ses vidéos. Sa montée en popularité a été fulgurante et lucrative, rapportant près de 16,5 millions de dollars en l’espace d’un an grâce à de nombreux partenariats commerciaux, comme l’indique Forbes.
Des retombées inattendues
La célébrité de Khaby Lame l’a propulsé vers des opportunités surdimensionnées. Il est devenu une figure bien connue dans divers événements médiatiques, étant membre du jury à Italia’s Got Talent et participant à des événements prestigieux tels que le Met Gala. Sa notoriété lui a également permis de signer des contrats avec des grandes marques et d’être nommé ambassadeur de l’UNICEF. Cette évolution de carrière est une véritable success story pour un jeune homme qui n’était qu’un ouvrier d’usine il n’y a pas si longtemps.
Un incident à Las Vegas
Le 6 juin dernier, alors qu’il se trouvait à l’aéroport international Harry Reid de Las Vegas, Khaby Lame a été brièvement retenu par l’ICE, les services d’immigration américains. Selon les autorités, il avait dépasse la période légale de son visa, après être entré aux États-Unis le 30 avril. Cet incident a été initialement perçu comme une arrestation arbitraire, mais le service d’immigration a précisé qu’il s’agissait d’une rétention administrative.
Un départ volontaire
Après quelques heures en détention, Khaby a obtenu un départ volontaire et a quitté le territoire américain le même jour. Cet épisode suscite de nombreuses discussions, et le jeune homme reste pour l’instant silencieux concernant cette mésaventure. Il est également essentiel de mentionner que cet incident arrive dans le contexte d’une politique migratoire stricte mise en place par l’administration actuelle. Effectivement, celle-ci a renforcé les contrôles aux frontières et accéléré les expulsions, augmentant la tension autour des affaires d’immigration.
Pour en savoir plus
Pour ceux qui souhaitent suivre les dernières actualités concernant Khaby Lame et son parcours impressionnant, plusieurs articles ont été publiés : Télérama, Stéphane Larue, TV5Monde, Le Parisien et Le Figaro.
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